A la recherche d'un lit convenable . . . (c'est pO gagner !)

Donc je déboule tard le soir au marché, quelle chance encore ouvert. Je cherche activement entre les rayons, un lit qui pourrait me convenir . . .

Celui-ci est dans mes prix : 985 ryos. Je prends donc les mesures avant de me rendre compte qu'il ne rentrera pas dans mon taudis !

Bon, tant pis. Je continu mes recherches lorsqu'on m'interpelle :

- Hey toi là ? Oui, toi ! Tu cherhce quelque chose, gamine ?

Je vois rouge mais je me retiens, repondant gentiment :

- Heu oui, je cherche un lit . . .
- Ah mais j'ai ce qu'il te faut ! Mais . . . comment dire . . . Je ne peux pas t'en palrais ici, d'accord ? Alors reviens à la Tour Hokage à minuit d'accord ?

Flairant l'embrouille, je recule et je bafouille :

- Huem . . . je ne peux pas vraiment là . . . Alors merci mais ça ne m'interresse pas.
- ça ne t'interresse pas ou tu as peur gamine ?

L'inconnu s'approche dangereusement de moi, faisant sentir sans haleine puant le saké. Il est ivre. Je recule encore, lorsqu'une de ses sâles pates tentent de m'attendre . . .
Paralysée par la peur, je n'ose pas repliquer lorsque soudain . . .

- Eh oh, tu n'as pas honte, ivrogne ?

Devant moi se dresse un homme (ou plutôt, un adolescent de mon âge environ) d'un bon mètre soixante, brun, faisant face à "l'ivrogne".
Ressairant sa sâle main sur moi, l'ivrogne malhonnête lance un regard noir au jeune inconnu avnt de . . . se prendre une main dans la figure ! Je regarde mon sauveur qui me dit :

- Tu ne devrais pas traîner ici à cette heure tardive, tu sais. Viens je vais te raccompagner chez toi.

Nous marchons donc. Devant chez moi, l'inconnu me glisse :

- Fais attention à toi, petite Yuudachi . . .






Comment connaissez-t-il mon nom ?